L’hypnose ericksonienne : pour qui, pour quoi ?
Blocage, phobie, deuil…
Parfois vous vous dites que c’est plus fort que vous. Vous avez l’impression de ne pas pouvoir avancer, de ne plus savoir où vous habitez, que le passé vous hante, que vous êtes en burn-out ou en bore-out, que vous ne comprenez plus ce qu’il vous arrive… alors l’hypnose ericksonienne peut vous aider à mieux vous comprendre et à dépasser cette situation dont vous ne voulez plus.
Parents toxiques, donc ?
Vous avez grandi avec un parent toxique, manipulateur, pervers narcissique comme on dit parfois rapidement. Vous avez souvent l’impression qu’on vous a volé votre vie mais que c’est sur vous qu’est retombée la condamnation. Vous avez honte, et honte d’avoir honte. Vous culpabilisez de vous sentir coupable… Trouvez avec l’hypnose la force d’écrire enfin votre propre histoire.
Enfants et adolescents
Changements de comportement, événements douloureux… Certains enfants en souffrance ont malgré tout la chance d’être entourés d’adultes bienveillants qui font tout leur possible pour les aider. En travaillant de concert pour les réconforter maintenant, nous les aidons à grandir libres. Ils se déchargent ainsi des valises qui, lorsqu’on les ignore, ne peuvent que s’alourdir au fil du temps.

Un accompagnement personnalisé
Praticienne certifiée en hypnose ericksonienne et RITMO® (dérivé de l’EMDR), j’adapte chaque séance à la personne qui vient me voir. Ainsi, je peux aussi bien faire appel à différents outils issus de thérapies énergétiques comme l’EFT ou d’approches créatives, symboliques, etc.
Je suis également formée pour l’accompagnement spécifique des enfants et adolescents.
Les précieux enseignements qui m’ont donné des bases de psychopathologie et de victimologie me permettent en outre de conserver une vision pragmatique de ma mission et de travailler en lien avec d’autres professionnels.
Je ne suis pas médecin, je n’établis aucun diagnostic et ne prescris aucun traitement. Les accompagnements que je propose ne se substituent en rien à un suivi médical.
Il se rit des plaies, celui qui n’a jamais reçu de blessure.
– William Shakespeare, Romeo et Juliette II,2.
Je suis passée par là
Ce n’est pas parce qu’on a perdu son chat qu’on n’a pas mal quand on se cogne l’orteil.
Toutes les douleurs méritent d’être entendues.
Pour autant, la vie m’a permis de traverser quelques épreuves dont la réputation est qu’elles peuvent détruire ou faire grandir.
J’avoue ne pas en avoir une vision aussi tranchée, mais une chose est sûre : même si je n’ai jamais réussi à vider la mer avec mon seau (ai-je seulement essayé ?) il m’en est resté une chouette ouverture d’esprit qui m’aide chaque jour à mieux accompagner les personnes qui me font confiance.
Deuil d’un parent, deuil d’un enfant, pervers narcissiques, épuisement professionnel, grave blessure, maladie féroce, enfants en souffrance, famille toxique, harcèlement, violences à la mode… Et je peste toujours quand je me cogne l’orteil !
La liste pourrait continuer, elle est presque aussi longue que celle des joies qui ensoleillent ma vie.
Ce qu’elle raconte ? Que je vous crois. Quelle que soit votre souffrance : je vous crois.











